Suite du feuilleton Anne Bert.
http://www.leparisien.fr/societe/euthanasie-madame-la-ministre-il-faut-revenir-sur-la-loi-leonetti-demande-anne-bert-21-06-2017-7072386.php
Le droit à l'euthanasie n'est pas au programme chez nous, ça viendra mais en attendant c'est pas rien de s'en aller en Belgique. Moi j'ai la chance d'avoir mon amie Clo à la frontière belge, qui m'arrangerait le coup mais si elle part avant je fais comment? Elle a le droit, je ne vais pas l'empêcher de mourir peinard avant moi si elle veut, quand même. Ce serait le bouquet!
Zazo
Bienvenue sur mon blog, où les thèmes inhérents à la fin de vie humaine, comme la maladie d'Alzheimer, la liberté des seniors et leur dignité, l'Ethique et la Religion face au suicide assisté dans un contexte de surpopulation mondiale, ne seront pas tabous.
dimanche 25 juin 2017
vendredi 16 juin 2017
Mourir n'est pas le contraire de vivre
"Mourir est tout au plus l'antonyme de naître. L'antonyme de vivre reste à trouver". Dixit Chris Marker, célèbre inconnu mais surtout écrivain réalisateur philosophe essayiste critique et photographe à ses heures.
Il a raison, puisqu'on peut vivre à moitié mort et être moitié vivant une fois mort. Non?
Dixit Zazo
Il a raison, puisqu'on peut vivre à moitié mort et être moitié vivant une fois mort. Non?
Dixit Zazo
Qu'est ce qu'on attend pour mourir heureux, chez nous?
Pour mourir tranquillement et assurément les français payent cher. J'ai rien contre, mais celui qui n'a pas les moyens il fait comment? Te rendre en Suisse parce que la loi française t'empêche de mourir aidé chez toi, en plus du coût, quelle fatigue. Bon sang d'la vie! Qu'est ce qu'on attend pour mourir heureux chez soi, nous?
Chaque année plusieurs dizaines de français vont derrière les montagnes pour mourir. C'est peu par rapport au nombre de tous ceux qui se suicident chez eux comme ils peuvent: Sous un train ou au bout d'une corde, avec des médocs ou se jetant d'un pont ou au fond d'un puits. Les pauvres, ils sont au nombre de 10 000 chaque année en France d'après les statistiques.
Triste pays.
Zazo
lundi 5 juin 2017
"Tout s'est bien passé"
C'est le dernier livre de l'écrivain Emmanuèle Bernheim. L'auteure y parle du suicide assisté de son père, André Bernheim, collectionneur d'art devenu très malade à 88 ans , demandant alors à ses filles de l'aide pour mourir en Suisse. Tout s'est bien passé est le dernier livre de son auteure morte elle, début mai 2017 à la suite d'un cancer. Elle avait 61 ans.
Zazo
Zazo
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