Pour ou contre l'euthanasie ?

Bon Week end.
J'aime bien la fin de cette vidéo.
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Les français VEULENT le Droit à une aide à mourir en France.

Enfin l'opinion des français montre que nous ne sommes pas plus bêtes que les belges!
Cet article-ci merci Claudette, me redonne un peu le moral.
Il faut accepter la mort comme elle vient puisqu'elle fait partie de la Vie. C'est la souffrance inutile qu'on peut refuser.
Espérons que les français obtiennent donc une loi plus respectueuse de leurs dernières volontés.
Croisons les doigts comme dit Jacqueline Laurent pour les assouplir déjà.
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Ma derniere volonté

Je ne la connaissais pas celle-là en cliquant ici tu as les paroles.
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Puisqu'il faut mourir, comment bien mourir?

Coucou me revoilà. Claudette Pierret mon amie fidèle de Meurthe et Moselle m'a renvoyé ces jours-ci cette vidéo intéressante , réalisée et diffusée dans l'émission Zone Interdite sur M6 il y a quelques années. Je la mets donc ici. On y voit d'ailleurs Clo un peu colère face à l'acharnement thérapeutique subi par son père très souffrant. (Dans le reportage, c'est le monsieur dont le lit médical était installé dans le séjour.) Habitant à la frontière belge mais du mauvais côté, (à 100 mètres) ce monsieur avait écrit dans ses directives anticipées qu'il souhaiterait pouvoir bénéficier d'une euthanasie le jour où il deviendrait grabataire sur un lit. Cet ancien bon vivant n'a pas pu en bénéficier car le jour J, hélas, ses D A étaient périmées et il n'était plus en mesure de les reformuler. (Heureusement, maintenant celles ci devenues impérissables) Mais encore une fois, chapeau bas aux docteurs Bernard Senet et Dr Yves de Locht pour leur humanité indiscutable. Cette vidéo est intéressante du début à la fin.
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Proposition de loi sur la Fin de Vie

Pour accorder les violons d'une nouvelle loi sur la fin de vie cet article est un bon diapason. Très bon même.
Jean Louis Touraine vous pouvez passer à autre chose.
(Merci Annie Babu de m'avoir envoyé cette tribune de libé de ce jour.)
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Vivre c'est partager les bonnes découvertes. En voilà une.

Bonne journée!

PS: merci à Annie B de m'avoir envoyé cette trouvaille

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Bonne nouvelle: Le CESE est favorable à l'Euthanasie

(Le titre de cet article est celui d'un mail que j'ai reçu ce matin del'association "Le CHOIX, citoyens pour une mort choisie")
Le CESE ayant ce début de semaine auditionné Nathalie Debernardi et Marie Godard, coprésidentes de "Le Choix..." a voté: Le bon sens est là!

Les résultats du vote montrent clairement que nous avons remporté une première victoire:

107 pour

18 contre

44 abstentions    (Certains groupes ont préféré s'abstenir car, ont déclaré leurs représentants, ils souhaitent prolonger leur réflexion sur ce sujet avant de se prononcer.)

Voici les conclusions du CESE, extraites du document officiel:

"Pouvoir, savoir, ne pas craindre de parler de la mort, bien avant qu’elle ne s’approche de trop près ; l’accepter comme une manière de compagne tout au long de la vie, convaincu.e.s que nous sommes qu’elle sera in fine un temps incontournable… Affronter le tabou pour espérer le réduire, réinventer des rituels et leur redonner du sens, partager en famille, avec les proches et au-delà, pour se préparer autant individuellement que collectivement à l’inéluctable, à vivre sa mort… Chacune et chacun désire mourir dignement, délivré des souffrances de tous ordres. La loi Claeys-Léonetti a permis des progrès dans cette direction, renforçant le droit et les pratiques des soins palliatifs et instaurant la codification de la sédation profonde et continue. Pour autant, et au-delà de la lancinante question des moyens attribués aux plans gouvernementaux successifs, cette loi n’épuise pas le débat sur la fin de vie. D’ailleurs, une loi pourra-t-elle un jour le faire totalement ? Alors, il faut avancer tou.te.s ensemble. La médecine progresse et le permet. Une large partie de la société civile le demande, tant par la voie de sondages et de pétitions, que de manière plus individuelle par le récit de situations douloureuses reprises par les médias ou dans les pages de livres-témoignages, mais aussi au travers d’affaires judiciaires complexes. La dignité humaine est fondamentale et il est impératif de tout faire en toutes circonstances pour qu’elle soit respectée ; cela implique la liberté de formuler ses choix, de les faire évoluer, mais aussi le moment venu de les faire respecter. Elle comprend la liberté des autres, en matière de conscience notamment. Elle n’exclut nullement de vouloir confier ses choix au fil de la vie, de les partager, de souhaiter y faire adhérer les siens. Sur la question ultime, relisons Jean-Claude Guillebaud dans un éditorial récent11  : « il faut accepter l’idée d’une complexité éthique minimale, d’une conjugaison nécessaire, difficile, fragile, subtile, entre interdit et transgression. Et oui ! Il est des cas où nous devons tout à la fois maintenir solennellement le principe inaugural de l’interdiction (celle de tuer), tout en laissant ouverte, - avec une infinie circonspection -, une possibilité de transgression ». Il ne s’agit nullement d’opposer le nécessaire renforcement des soins palliatifs à leur élargissement, pouvant aller jusqu’à la prescription, la dispensation et l’administration d'une sédation profonde explicitement létale, mais au contraire de les rapprocher de façon à ce que la loi donne à chaque patient.e en fin de vie les réponses qui lui conviennent. Celles-ci ne sont pas univoques ; chaque personne est différente ; les aspirations, les convictions et les volontés de chacun.e sont différentes. Tel est le sens profond de cet avis et des préconisations qui y sont décrites. Nous nous sommes efforcé.e.s de le faire avec humilité, précaution, vigilance et compassion. La main doit trembler, disait Montesquieu, à l’heure de s’approcher de la loi."

Nous avons sans doute gagné une bataille mais nous n'avons pas encore gagné la guerre et nous devons poursuivre notre travail assidûment jusqu'à la prochaine échéance, notre audition le 19 avril, dans le cadre des États Généraux sur les lois de bioéthique et la fin de vie.

Nous avons encore besoin de vous, et en particulier pour nous aider à grossir les rangs de notre association. Plus nous serons nombreux, plus notre témoignage sera pris en considération.

Merci à tous ceux qui voudront bien nous prêter main forte !

Nathalie et Marie

On s'en occupe!!  ;);););)

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Fermeture des Soins Palliatifs au Mans.

Les Soins Palliatifs seraient la Solution pour les personnes en souffrance et plus ou moins en fin de vie? Quels soins palliatifs? Où ça? Au Mans?
Eh oui, on y arrive. Si l'industrie labo-pharma et ceux qui tournent autour vont bien, la Sécu, elle, doit faire des économies, même de bouts de chandelles.
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Seul recours: le coup de fusil?

En voilà une fin de vie digne en 2018! Bravo les mecs si ça vous va, ça.
Moi non merci.
Beaucoup d'hommes pensent avoir recours à la 22 pour le jour où plus rien n'irait plus pour eux ni pour leur conjointe bien aimée. Ne pourrait-on pas leur permette de quitter le plancher des vaches - bien nommé - d'une manière plus digne de notre époque?
En Belgique, il y a moyen. En Suisse aussi. Pour les français riches ou frontaliers.
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Fats Domino, pour nous réveiller tiens.

Si tu ne te réveilles pas avec ça c'est que... ;(;(;(;(
;);););)
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Mourir en France, mourir en Belgique?

Cet après-midi à ne pas manquer

Malgré les grèves de trains qui perturberont l'aller /retour de Nathalie, grâce à la pugnacité de celle-ci nous avons pu maintenir cet événement.

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Huguette the Power:

Quand tu chantes ça va, il n'y a pas d'âge pour aimer chanter, seul ou accompagné. Au Rex  à Paris en plus... (voir leurs autres vidéos sur le web) Grand bravo aux organisateurs et aux chanteurs de l'Ehpad de Laval bien sûr!
Moi le jour où définitivement je ne pourrai plus du tout chanter, ne serait ce qu'en moi, pour moi, je serai déjà un peu trop ailleurs pour apprécier la vie, va.
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