mercredi 1 mai 2024

Denis Labayle, merci encore

Le CHOIX ASSOCIATION DE CITOYENS POUR UNE MORT CHOISIE est association plus petite mais vraiment militante. Merci au Dr Denis Labayle qui nous représente bien ici encore.
Z. 

Jonathan Denis est-il seul?

NON. Il y a plus de 70 000 adhérents dans l'association de l'Admd qu'il représente en France. Adhérents qui cotisent chaque année en espérant désespérément des actions efficaces de leur armada, pendant que les chefs se baladent ici et là. 
Ceci dit je suis contente pour lui: J L Roméro a retrouvé l'alliance de son ex mari. Alliance qu'il avait perdue dans un avion, j'ai lu ça dans la presse people récemment.
Z.

mardi 16 avril 2024

Ces jeunes Alzheimer mettent une heure pour s'habiller

Terrible diagnostique, surtout dès cet âge-là. 
Z.

Son cœur s'est arrêté.

 Dimanche, 14 avril 2024 19:00 LE JOURNAL DE MONTREAL

MISE À JOUR Dimanche, 14 avril 2024 19:00

Ma mère est morte vendredi à midi, le 12 du 12, grâce à l’aide médicale à mourir, entourée de ses cinq enfants et huit petits-enfants. Pour le ministère de la Santé, ce sera un statistique de plus dans la colonne des centaines de Québécois qui ont choisi de « Mourir dans la dignité » mais pour ses proches, c’est la fin de ses innombrables souffrances. 

À midi pile, après s’être enquise de la volonté de ma mère d’aller de l’avant avec la procédure, la bienveillante Dr Cohen a commencé à lui faire une série de quatre injections. Une valse à quatre temps. Une piqûre pour l’endormir, une piqûre pour l’anesthésier, une piqûre pour la plonger dans un coma, puis une piqûre pour enlever ce qui pouvait rester de vie.

De battre, son coeur s’est s’arrêté.

Je ne vous dirai pas comment cela s’est passé. Ce qui s’est dit (ou pas) avant. Ce qui s’est dit (ou pas) après. Cela restera dans l’intimité de notre famille.

Mais ce dont je veux vous parler aujourd’hui, c’est de la grande douceur du geste. De la grande sérénité du geste. Du grand respect du geste. Et oui, de la grande beauté du geste.

C’est très particulier d’inscrire à son calendrier « Mort de maman ». D’encercler une date et de commencer un compte à rebours. Cela nous a donné des semaines pour nous préparer à l’idée de la mort, de vivre à ses côtés, de s’en faire une alliée et de tenter de l’apprivoiser.

Si j’écris ce texte aujourd’hui, c’est pour vous dire à quel point je suis reconnaissante de vivre dans ce presque pays où le « consensus social » s’est bâti autour de la notion d’une mort digne et respectueuse.

On a décidé collectivement d’entendre ceux qui préfèrent mourir plutôt que de continuer à souffrir. On a décidé de reconnaitre « la primauté des volontés exprimées clairement et librement ».

En me préparant à la mort de ma mère, j’ai eu une pensée pour une autre « mère ». La « mère » de l’aide médicale à mourir, l’ex députée péquiste Véronique Hivon.

Grâce au travail transpartisan des quatre formations à l’assemblée nationale, on a abouti à une loi « assurant aux personnes en fin de vie des soins respectueux de leur dignité et de leur autonomie, adaptés à leurs besoins et à leur situation particulière ».

Au cours des dernières années, à QUB radio ou à l’émission Le Monde à l’envers, j’ai souvent défendu l’aide médicale à mourir contre ses détracteurs. Ceux qui disaient avoir peur des « dérapages ». Ceux qui disaient que ça allait trop vite, trop loin.

Je n’avais aucune idée, alors, que je défendais le « droit de mourir » de la personne qui m’avait donné la vie.

Mais je défendais toujours le même point de vue : « Qui sommes-nous pour empêcher quelqu’un qui veut partir, de s’en aller selon ses dernières volontés, à l’heure, au jour et selon la manière de son choix ? » .

Dans l’expression « mourir dans la dignité », le mot le plus important est « dignité ».

Dans l’expression « aide médicale à mourir », le mot le plus important est « aide ».

Et dans l’expression « soins de fin de vie », le mot le plus important est « soin ».

Vendredi le 12 à 12 heures, ma mère a reçu un « soin » qui l’a « aidée » à partir dans la « dignité ».

Très beau témoignage, que Nathalie Andrews m'a partagé ces jours-ci.

Z.

lundi 8 avril 2024

Les soignants sont au fait de l'euthanasie.

Contrairement à ce que disent nos opposants, tous les soignants ne sont pas opposés à l'aide à mourir. Et quand ils sont concernés ils font comme les copains tant que la France n'est pas à la hauteur de leurs attentes: direction la Belgique, pour cette infirmière et femme de médecin.  VOIR ICI,

Z.

Fin de vie en France: Finalement...

Très beau reportage, encore un grand merci à mon amie Claudette. La Charité est bien là: Dans l'Ecoute, le Respect de la Vraie volonté de chacun, quelle que soit celle-ci.
Z.

mardi 2 avril 2024

La famille nombreuse, un modèle du passé j'espère.

Aujourd'hui, la démographie a intérêt à être bien gérée. La famille nombreuse était encore bienvenue à une époque, VOIR ICI, mais aujourd'hui ce n'est plus un modèle à suivre. Même si on peut dire bravo à ces mamans qui ont élevé une belle marmaille, aujourd'hui, non, il vaut mieux s'abstenir: Il n'y a plus de terrains constructibles, plus de logement, VOIR ICI plus d'eau potable, VOIR ICI plus de matières premières, VOIS ICI plus d'Afrique, VOIR ICI etc... etc...

Z.

Pour vivre en bonne santé

La santé, c'est primordial, plutôt que la longévité pour la longévité. Le sport ça aide: il faut se bouger.  VOIR ICI. Vivre vieille, ok mais à condition d'avoir la pêche!

Z.

Les ehpad n'ont plus de sous.

C'est l'impression que ça donne un peu partout, VOIR ICI. J'ai un peu de mal avec les cathos qui affirment que si on veut, il n'y a pas de problème, l'Etat peut accueillir dans des conditions optimales chaque personne en souffrance...

Z.

samedi 23 mars 2024

Frédéric Mitterand a souhaité décéder chez lui. Aidé à mon avis.

S'endormir dans un magnifique chez soi, voilà un souhait qu'avait cet homme à l'art de vivre hors du commun des mortels, y incluant visiblement l'art de bien mourir. VOIR ICI. 

L'article ne le dit pas, mais entre nous, il aurait souhaité pour l'occasion faire un discours à la hauteur de l'évènement devant ses proches, dans ce somptueux appartement, que cela ne m'étonnerait pas. Je ne dis pas que j'aurais pris plaisir à l'écouter, mais le sujet n'est pas là.

Partir, juste après avoir levé une dernière et belle coupe et s'être dit adieu, cela se fait. A condition de rester assez discret évidemment; en France c'est la première condition. La seconde étant d'en avoir les moyens. 

Dernier point et pas des moindres, pour réunir ainsi tes proches qui parfois peuvent venir de loin, encore faut-il connaître l'heure, du moins le moment de la journée, enfin la date précise de ton grand départ. Une date arrangeante pour toi et pour tes invités, cela se prévoit. Or à moins d'être très privilégié et de pouvoir bénéficier d'une euthanasie clandestine, en 2024, en France, c'est impossible un pot pareil.

Emigrer... pour bien mourir? C'est le comble de quoi, ça? 😕

Z. 



jeudi 21 mars 2024

Enfin, la courbe des naissances ralentit!

Le nombre d'habitants sur la planète devrait cesser d'augmenter en flèche OUF! Je viens d'apprendre la nouvelle. VOIR ICI 

Parce qu'il ne faut pas me raconter de salades, nous allions vers la pire des catastrophes en continuant sur notre lancée d'après guerre. 

Après, qu'il y ait ici ou là, besoin d'étrangers pour nous venir en aide, le fait est vieux comme Hérode. Mais au moins, on ne se respirera pas dans les trous de nez! OUF! OUF!

Z.

jeudi 14 mars 2024

Projet de loi en préparation

Claudette Pierret nous envoie son opinion par rapport au projet de loi Fin de vie, que nous prépare Macron. Effectivement, le fait de ne pas employer le therme Euthanasie permet de douter qu'il ne s'agirait pas de la loi actuelle revue et corrigée. Ce qui me permettait d'espérer, c'était la colère des religieux qui se disent trahis! Forcément je voyais donc un peu d'espoir. A voir. Mais voici le message de Claudette Pierret*: 

"Il est bien évident que, comme beaucoup d’entre-nous, je ne me réjouis pas du tout de ce projet de loi. Rien à voir avec la loi belge !

En fait, pratiquement rien, ou si peu, de changements par rapport à la loi Léonetti actuelle, il n’a toujours pas employé les bons mots de « suicide assisté » et « d’euthanasie » et finalement s’il accepte l’idée d’une aide médicale à mourir, elle figure déjà dans la loi Léonetti actuelle sous le nom de « sédation » Il change les mots, pas le contenu.

Le seul changement, c’est une possibilité d’aide à « moyen terme » mais ce seront toujours les médecins qui auront le pouvoir de décision, et donc le dernier mot.

Et en plus, il faudra qu’ils consultent Mme Irma pour savoir à quelle échéance leurs malades vont mourir car rien n’est écrit à l’avance dans ce domaine et il y a fort à parier qu’un médecin opposé à l’euthanasie sera plus enclin à être optimiste sur la supposée durée de vie de son patient. Et si ce dernier venait à avoir la mauvaise idée de mourir trop vite, ça serait alors la faute à « pas de chance »…

 Ce n’est pas encore demain que les malades arrêteront de travers les frontières, j’en ai bien peur !"


*Claudette Pierret est très active dans la presse locale pour que la loi passe. Habitant à Longwy près de la frontière belge, elle a accompagné plusieurs français désirant une aide médicale à mourir. Elle accompagne également des personnes qui souhaitent aller en Suisse. Voir ici aussi


Z.


lundi 11 mars 2024

En France: Le Droit de demander une aide médicale à mourir ou un suicide assisté, arrive enfin?

Enfin, ça avance. Merci Macron! 
Quant à ce monsieur des SP qui se demande où on va, à moins qu'il ne s'interroge sur son pouvoir d'achat je peux le rassurer: on ne décidera jamais à la place d'un souffrant, sauf si celui-ci ne pouvant plus s'exprimer, s'était exprimé clairement, sans ambiguïté possible quand il était en mesure de le faire, sur ce dernier choix le concernant, bien sûr. 
On va tout simplement, monsieur, vers le Droit de demander une aide à mourir pour toutes les personnes qui en feront la demande à cause de leurs souffrances réfractaires. Pas uniquement les riches, comme c'est le cas actuellement.
Z.

jeudi 1 février 2024

Si à la mode à de Gaulle, la vieillesse est un naufrage, ce n'est pas le même pour tout le monde.

Quand on a la santé on peut apprécier de vieillir COMME ICI, cette mamie de 100 ans. Après une vie pourtant assez speed j'imagine. Tant mieux pour elle, tant que cela dure comme ça.

Z. 

vendredi 19 janvier 2024

La vie, il y en a qui hésitent à la donner, en France.

Je les comprends. VOIR ICI Un monde dirigé par des intelligents plus ou moins cinglés, ça finit par lasser trop grave. Déjà, ceux qui ne naitront pas, seront garantis de ne pas mal mourir, eux. Pauvre France.

Z.

Témoignage de Nicole B. 90 ans partie en Belgique pour obtenir une Aide

Hélas, la France n'avance pas dans ce domaine.
Z.

mercredi 10 janvier 2024

L'Eglise catholique dépend de la générosité de ses donateurs.

Si ces derniers y voient un quelconque intérêt spirituel ou matériel, pourquoi pas? VOIR ICI. De simples croyants, comme de plus illuminés, sans oublier de ces généreux lobbies, labo pharma par exemple, tout le monde peut se sentir concerné par le denier du culte, et donner selon ses possibilités et/ou ses intérêts. 

Pour vivre heureux vivons cachés, donc Dieu seul saura au final, qui a donné quoi. Et comme une caisse enregistreuse, c'est pas très bavard, cherchez pas, vous ne saurez rien de plus. 

Z. 

Mourir jeune

Il n'y a pas d'âge pour ressentir des souffrances insupportables sans issue de secours. Pourquoi exclure les jeunes du débat sur la fin de vie? VOIR ICI.

Z.


Denis Labayle, merci encore

Le CHOIX ASSOCIATION DE CITOYENS POUR UNE MORT CHOISIE est association plus petite mais vraiment militante. Merci au Dr Denis Labayle qui no...