jeudi 20 juillet 2017

Notre grandeur d'être humain: Prendre en charge les événements majeurs de notre vie.

Suicide ou auto-délivrance peu importe, le résultat est le même.
Mais c'est un droit.
En Suisse, ceux qui désespérés, sans aucun bon espoir font ce choix ont le droit de ne pas trop en souffrir.
Ils ont aussi le droit de s'assurer que leurs survivants ne soient pas terrifiés de stupeur et bigre choqués à vie comme on doit l'être en découvrant par surprise son proche parent pendu, noyé ou j'en passe.
Sûr, partir sans bouger ça m'irait moi, mais pourquoi en Suisse?
Zazo

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Commentez!

Ma sénatrice Laurence Garnier a quel niveau?

A souhaiter qu'avant de voter pour ou contre en janvier, elle aura compris elle aussi que la loi sur la fin de vie doit évoluer. Pendan...