Victor Hugo l'a bien résumé, "le sourire n'est pas un argument". Alors pourquoi laisser des bureaucrates sourire en coin en décidant à notre place ce qui est bon pour nous? Quand on arrive à la fin du banquet, on devrait avoir le droit de dire "stop", de poser sa serviette, et de s'en aller dignement, avant que la musique ne devienne trop forte ou que le dessert vire à l'indigestion.
Soyons clairs: la fin de vie, c'est un choix personnel. C'est à nous de décider si on a encore faim ou si on préfère s'arrêter là. Parce qu'après tout, c'est bien à moi, et pas à eux, de savoir quand je suis "full"!
Z. et A.
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