Très beaux témoignages ici grâce à Marina Carrère d'Encausse. J'ai relevé ceci:
Contrairement à ce que disent les opposants à la loi, ce n'est pas un manque d'accompagnement, ni un sentiment de solitude ni un manque de moyens de défense qui ont motivé ces personnes à demander une aide à mourir. C'est par décisions personnelles, ces personnes n'acceptent pas certaines conditions de vie dépendantes, point barre.
Avant que la vie ne devienne qu'une tragédie pour toi, libre à toi d'y faire un beau pied de naille, je te comprendrais!
En présence de la fille d'Anne Bert, du Dr Bernard Sénet, le débat qui a suivi ces témoignages a été bien mené. Excellent. (J'espère que le jeune infirmier sur le plateau se remettra du casse-pipe!!)
N B C'est mon amie Claudette Pierret qui, avec le Dr Yves de Locht (avec qui j'ai pu discuter un jour à Bordeaux plus humain tu meurs) qui ont monté le dossier et accompagné Hélène 29 ans, lorsqu'elle a fait sa demande en Belgique.
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